QuoteReplyTopic: DEATH INVOKER (Peru) Necromancy, damnation... Tape Posted: 11 Sep 2020 at 8:01am
DEATH INVOKER "Necromancy, damnation, revenge" Tape out now!
Old school black/ death/ thrash from Peru, in the traditional south-american style! It tastes like a diseased mixture of old Sarcofago, very early Sepultura (Morbid visions), and very early Sodom…
Listen here: https://youtu.be/0GTa2Gg1AUo
Now morbidly released by NIHILISTIC HOLOCAUST Recs. This comes as a black tape with sticker and pro cover.
Get it from: -Nihilistic Distro: https://nihilistic-webzine-distro.fr/Webshop/en/81-nihil -Bandcamp: https://nihilisticholocaustrecs.bandcamp.com
Reviews of the DEATH INVOKER tape start to appear!
VOICES FROM THE DARKSIDE Webzine:
As every die-hard maniac knows, Perú is one of the most prolific countries in
terms of bestial yet primitive Metal, impregnated by a strong attitude and a
raw sound on their bands as a reflection against the moral and religious
establishment. This sentence is confirmed by bands that transcended latitudes
as MORTEM, ANAL VOMIT, HADEZ, GOAT SEMEN amongst others that carried the South
American flag despite the cruel reality that they used to be immersed. Said
that, DEATH INVOKER spawned in 2005, but belongs to a new generation which took
those roots and made spears with them. So nowadays (at least down here) it’s
common now to hear about them in hordes as EVIL PRIEST, EVIL SPECTRUM,
PROFANER, EVOKED CURSE, COBRA, etc. Returning to the main focus here, DEATH
INVOKER presents this tape reissued EP, which was released originally on 7″
vinyl on 2018, but this time containing an unreleased and excluded song.
Dismembering this demonstration of South American Metal, “Necromancy,
Damnation, Revenge” is made of 3 stabs plus an intro through short 15 minutes
of pure intensity and malevolence. ‘Magnificent Invocation’ open the gates with
some haunting voices and a simple keyboard introduction giving way to
‘Divination Through Death Spirits’, the unreleased song, which is all about raw
Black / Thrash Metal enrooted on ancient banners as SARCOFAGO, SEPULTURA,
MUTILATOR, VULCANO and the aforementioned bands too. ‘Witches Hammer’ stands
out above the rest of the songs, turning out to be one hell of a memorable
song, with a strong chorus which demands some raised fists and real violence at
gigs. Despite the lack of innovation, DEATH INVOKER’s fundamentalistic fiends
know what they are doing, full conviction through obscure Metal is perceived
here. By the hand of Nihilistic Holocaust Records from France, this tape takes
no shit on subtleties with a front cover charged on hate and graphics which
bring thoughts about some actual SABBAT (JAP) reissues. For those who are
looking a short but intense release as a teaser of how alive the Peruvian scene
is, you’re in for a treat then.
Sebastián Salce
FATAL UNDERGROUND Zine:
Cool ,in der letzten Ausgabe konnte ich mir ja schon ne Promo von denen
reinziehen ,welche durchaus auch recht gut rüberkam . Mit “ NECROMANCY,
DAMNATION, REVENGE “ wird nun gleich mal nen offizielles Teil nachgelegt
,welches allerdings als 7 "Vinyl 2019 in Brasilien bereits schon mal
veröffentlicht wurde . Allerdings gibt es hier auf der Tapversion ( comes
as a black tape with sticker and pro cover) auch noch nem Bonustrack zu
erhaschen ,welche wohl bisher noch nicht veröffentlicht wurde . Nach ner
kleenen, dunklen morbiden Soundeinleitung legt die 2 Mann Horde aus Peru dann
auch gleich los .Eher kurz (15:34min. ) und schmerzlos überrennen einen hier
dann die Peruaner mit den gebotenen 4 Tracks . Kein großartiges rumgedudle
,rumgefrickele ,sondern immer ganz klar und geradlinig auf den Punkt gebracht ,
gibt es hier die volle Breitseite an absolut old schooligem Black-,
Death- und Thrash Metal Sound .Zwar zeigt man sich hierbei nun absolut nicht
von eigenen Innovation geprägt, aber das was sie machen, strotz nur so vor
Überzeugung und Herzblut .Und das ist ja wohl eine der wichtigsten
Eigenschaften ,welche ein Musiker mit sich bringen sollte . Ganz klar und
deutlich treten bei denen natürlich deren Vorbilder „Sepultura“ ( alte Sachen )
und „Sarcofago“ zum Vorschein . Voll ausgestattet mit einem wirklich
super brutalem, aber simplem Riffing , vereinzeltet Blastbeat Attacken
,schwingen die hierbei durchweg ne verdammt fette und schlagkräftige Metal Keule
.Typisch für die Band ,und sicherlich auch irgendwie deren Markenzeichen , ist
deren tief schwarzer und bösartiger, leicht hallig unterlegte Gesang. Top für
das ganze old schoolige Höllenfeuerwerk ist natürlich die super roh und pur
gehaltene Produktion .Also tatsächlich mal wieder eine solcher
Veröffentlichungen bei der insgesamt alles stimmt .Geiler Sound ,absolut
passende Gestaltung und ne Mucke ,welche ihr Ziel nicht verfehlt . Echte old
school Puristen ,die auf wirklich puren ,bösen und absolut old schooligen Sound
abfahren ,werden hierbei zweifelsfrei abfeiern ein kleines „Freudentänzchen „
vollziehen
I still
have copies of previous tape releases, and youcould take 1 copy of 5 different tapes,
So it could
be interesting even for those who don’t run a distro.
Get in
touch: gabsk(a)wanadoo.fr
Other tapes to trade include:
-SILURE (Fra)/ FERETRO (Chile) Split tape. Obscure
death / Old school death.
-VALGRIND (Ita) Morning will come no more... Tape. Old school death
-EXCORIATE (Chile) ... Of the ghastly stench Demo tape. Old school death/ Doom
-DEKONSTRUKTOR (Rus) Eating the universe Tape. Doom with old industrial
touches.
-PENTHOS (Uk) Lifeless haze Demo tape. Old school death metal/ thrash with a
technical twist.
-GLAUKOM SYNOD (Fra) ECTOPLASMIC REVELATIONS Demo tape. Industrial/ Brutal
death/ Breakcore.
-SZYNHOD GLAUKHOM (Fra) "I" Demo tape. Dark ambient/ Indus/ Noise.
… And more
New reviews of the DEATH INVOKER Tape have appeared!
CANADIAN ASSAULT Webzine
Death Invoker is from Peru, this was released originally in 2018 on 7” EP (plus
a bonus unreleased track cut from the vinyl due to length) and now gets the
tape treatment. The band plays dirty & heavy deathrash music with an evil
aura to it. If you love things like the very early works from Sepultura, Sodom,
Destruction mixed with Sarcofago & Blasphemy then get this ASAP!
MARGOTH
PDF Webzine
Voici de l’underground du fond de l’underground, en provenance du Pérou.
Réédition d’une cassette de 2014, on découvre un trio ayant un amour pour le
death, le black et le thrash mais version old school et tradition metal sud
américaine.
Après une intro à la fois malsaine et occulte, le trio démarre sur le mélange
décrit plus haut, avec un son très caractéristique, sonnant un peu comme les
productions de la fin des années 80 mais avec une basse qui est mise en valeur
(c’est important, ça donne un cachet ici qui n’aurait pas ce charme sans). Ne
vous attendez pas à quelque chose de complexe (mais pas non plus simpliste).
N’imaginez pas des plans de batteries de folies ou des parties guitares léchées
et chiadées. L’intérêt n’est pas vraiment ici.
On est plus dans une idée d’alternance de passages rapides, sonnant thrash
heavy, malsains, alternant avec des phases plus lentes, lorgnant vers un death
obscure, limite doom death, les deux aspects ayant dans leur ADN un relent
black apportant une touche d’obscurantisme malsain. Et c’est là que le groupe
fait fort, avec 3 titres quelque part entre les vieux Sarcofago et les premiers
Sepultura (‘Morbid visions’) mais avec cette approche typique des groupes sud
américains, qui change complètement de nos habitudes nourries d’Amérique ou
d’Europe.
Non seulement le groupe a cette approche mais il la cultive aussi via un son abrasif
participant à la mise en abîme de leur univers et de leur façon de faire. C’est
à la fois exotique et accrocheur (surtout si tu apprécies les groupes avec un
coté old school). A sa façon, ça défonce bien !
Qui plus est, le groupe nous livre avec le titre ‘Divination through death
spirit’ un titre exclusive, celui-ci ayant été rejété lors de l’Ep original.
Avec cette sortie, l’ami Gab nous permet de découvrir un énième groupe
underground, qui vaut le détour, tout en fossoyant cet underground si merveilleux
!
THRASHOCORE Webzine
Formé au Pérou, Death Invoker ne fait pourtant pas dans la flute de Pan ou la
laine de lama. Il pratique plutôt un death sale et primitif, à l’époque où
celui-ci n’était pas encore forcément sevré de thrash, foncièrement basique et
repoussant, et aux titres de chansons laissant transparaitre leur amour du
pape. Le death, tel qu’il devrait toujours l’être.
Même si c’est loin d’être toujours le cas dans la scène actuelle, et ce malgré
le revival auquel on assiste depuis un moment, il demeure toujours, ici et là,
de ces défenseurs, garants d’une certaine tradition.
Fort de ce constat, il convient d’en établir un second : Death Invoker fait
partie de ces groupes qui, paradoxalement à une discographie finalement peu
abondante – n’est pas Rogga Johansson qui veut -, donnent du fil à retordre aux
collectionneurs compulsifs dont fait partie votre serviteur.
Entre démos, live (le bien nommé « Necromantic Desecration ») et autres splits,
on s’aperçoit que tout attraper au vol relève de la gageure (pour preuve, le «
Promo 2019 » limité à 33 exemplaires, ne figure même pas dans la disco
officielle).
Ce "Necromancy..." est d’ailleurs la réédition d’un 7’’e.p., alors
amputé d’un titre par manque de place.
Euh….erreur de casting à l’époque ? Pourquoi alors ne pas avoir opté à ce
moment là pour un support plus adapté ???
Quoiqu’il en soit, cette « bizarrerie » est aujourd’hui réparée, et le titre
jadis éjecté se retrouve de suite après l’intro.
Et effectivement, il aurait plus que dommage de se priver de ce «Divination
through Death Spirits « , au riff d’entrée mémorable et à l’odeur de
putréfaction revendiquée.
Primitif donc ? Oui, sans aucun doute, mais en aucun cas dénué de talent, si
l’on en croit les deux morceaux suivants, développant – si l’on peut dire-, les
atmosphères et sentiments fort justement exposés dès cette seconde piste
susnommée.
Bêtement méchant et fier de l’être, dissimulant son savoir-faire sous des
atours d’autrefois (on pense à toutes les photos promos des premiers groupes
d’extrême en voyant les gaziers et leurs blazes de scène), et assis sur les
genoux d’un Sarcofago qui piocherait dans la pinte d’un Sepultura époque «
Bestial Devastation », Death Invoker vous adresse un gros « fuck » en vous
disant : « c’était mieux avant !!! ».
Comment ne pas leur donner raison ? …
Second paradoxe, temporel celui-ci : en découvrant ce groupe qui préfère
regarder dans le rétro, vous apporterez votre support à un chouette petit label
qui lui, cherche à aller de l’avant.
DETOX Zine
Nareszcie! Tym razem peruwiański DEATH INVOKER zapodaje pełnowartościowy
materiał, co doskonale słychać i czuć w każdej sekundzie tego materiału, a nie
jakieś odrzuty jak to było w przypadku splitu z EMPHERIS. Surowy, oszczędny w
formie, wręcz archaiczny Death/Thrash/Black Metal, którego słuchanie to
najprawdziwsza przyjemność i podróż w głąb piekielnych czeluści. DEATH INVOKER
jest drapieżny, obskurny, nieokiełznany, bezkompromisowy ma wyjebane na obecnie
panujące trendy i standardy, jest tym, czym powinien, być metalowy zespół!!!
Peruwiańczycy swoim graniem przypominają mi wczesne dokonania SLAYER, wczesne
SARCOFAGO… ”Necromancy, Damnation, Revenge” to wydana pierwotnie na winylu trzy
utworowa Epka, która obecnie w wersji kasetowej została wzbogacona o dodatkowy
niepublikowany do tej pory utwór. Utwory są dość długie, drapieżne potrafiące
naprawdę porządnie przypierdolić. Co ciekawe oprócz szybkich i bardzo szybkich
temp, DEATH INVOKER potrafi również konkretnie zwolnić, co szczególnie słychać
w niepublikowanym do tej pory "Divination Trought Death Spirits”. Jednak
najbardziej w ich wykonaniu podobają mi się thrashowe łupanki i blaściory
ozdobione znakomitymi melodyjnymi, a zarazem drapieżnymi solówkami. Znakomity,
charczący z dodatkiem specyficznego pogłosu wokal, surowe podziemne brzmienie,
świetna idealnie oddająca atmosferę muzyki okładka. Wszystko zagrane tak jak
sam Rogaty przykazał! Bardzo dobry, choć oczywiście przykrótki materiał.
Finally! This
time, the Peruvian DEATH INVOKER is giving a full-blown material, which can be
perfectly heard and felt every second of the material, and not some rejects as
was the case with the EMPHERIS split. Raw, sparing in form, almost archaic
Death/Thrash/Black Metal, listening to it is a real pleasure and a journey into
the depths of hell. DEATH INVOKER is predatory, obscure, unbridled,
uncompromising, has a fucked-up attitude to current trends and standards, is
what a metal band should be!! Peruvians with their playing remind me of
SLAYER's early achievements, early SARCOFAGO... "Necromancy, Damnation,
Revenge" is a three-track EP originally released on vinyl, which has now
been enriched in a cassette version with an additional track not yet published.
The songs are pretty long, predatory and really fucking good. What's interesting
is that apart from fast and very fast tempos, DEATH INVOKER is also able to
specifically slow down, which can be especially heard in "Divination
Trought Death Spirits", unpublished so far. However, what I like the most
in their performance are thrashy tempos and blasts decorated with excellent
melodic and at the same time predatory solos. Excellent, harsh with the
addition of a specific reverberation vocal, raw underground sound, great cover
perfectly reflecting the atmosphere of music. Everything played as the Devil
himself commanded! Very good, but of course short stuff.
CABALE Blogzine
Pendant que c’est la course à qui trouvera le groupe le plus retranché du
monde, au milieu de sa savane, sa rizière, sa forêt tropicale ou son désert
glacé ou sablé, il y a quelques groupes qui existent depuis des années (quinze
ans ici pour DEATH INVOKER), qui demandent (ou pas) mais surtout qui méritent
qu’on parle un peu plus d’eux.
Les péruviens de DEATH INVOKER, qui n’ont principalement sorti que des démos,
des Ep et des splits depuis... tout ce temps, offrent une seconde jeunesse à
leur Ep « Necromancy, Damnation, Revenge », sorti en 2018.
En effet, Nihilistic Holocaust, qui a toujours le nez fin, s’est penché sur
leur cas, pour rééditer ce Ep trois titres à l’origine, parmi lesquels s’est
immiscé « Divination through death spirits » qui n’était pas sur la version
vinyle de départ, car trop longue. Donc sur cette réédition version tape « de
luxe », comme on dit dans les soirées, de toute beauté, on retrouve les titres
enregistrés en 2014/2015, qui étaient présents sur la sortie en 2018 et ce
dernier morceau inédit.
DEATH INVOKER c’est une ambiance de fête de la mort, entre black, thrash, death
plus qu’old school comme savent le faire les sud-américains, à la sauce des
très vieux Sarcofago ou des très vieux Sepultura époque précambrienne.
La tape est courte, quinze minutes, même pas le temps d’avoir le temps, mais
une fois passé l’intro morbide à souhait, où saturent les graves jusque dans la
couture du milieu, celle qui tranche, DEATH INVOKER envoie du sale.
Batterie qui ne suinte pas le trigg, où les cymbales sont infernales et la
caisse claire joue du tambour, « Divination through death spirits » balance
quelque chose de râpeux, d’âpre qui mélange effectivement des atmosphères plus
death au départ mais qui s’entremêlent dans les ambiances thrash/black typiques
des groupes sud-américains. Aucune concession, aucune fioriture pour rendre le
tout plus digeste ; au contraire, DEATH INVOKER vomit sa voix sans artifice et
offre dans le sang un premier titre qui mélange les ténèbres à la violence
démoniaque. Ça blaste et ça oscille pendant plus de cinq minutes, d’une manière
primaire, mais toujours percutante, avec des riffs simples mais rentre-dedans.
« Witches hammer », déjà plus speed, vient chercher l’oreille immédiatement
avec un premier riff qui coupe ; sur ce morceau la vitesse est de mise et DEATH
INVOKER est ultra puissant dans sa composition. Toujours sans aller chercher la
difficulté, on assiste ici à un déferlement de violence basique, classique
aussi, mais bigrement bien exécutée.
Le son aussi sent les années 80’s, il y a du relief et le côté ultra
thrash/speed/black de « Witches hammer » procurera quelques bons rictus aux
amateurs les plus « trve » de la scène old school, ceux qui ne sourient jamais,
et qu’on voit au fond des salles en train... d’être au fond de la salle.
Bref, DEATH INVOKER offre une musique noire, sombre, simple, mais hyper
puissante dans sa rugosité.
Le dernier titre, « Destroy the cross », peut-être plus classique par rapport
aux deux autres, reste dans les sentiers jalonnés également, mais se paye le
luxe de farfouiller un peu plus dans la morbidité sur sa deuxième moitié, pour
mieux mettre une branlée sévère sur le solo de fin de piste.
Cette réédition en format tape met à l’honneur DEATH INVOKER ; elle est
bienvenue pour découvrir ce Ep sorti il y a deux ans, qui a précédé les trois
splits suivants. Valeur sûre,
efficacité, rien à redire. C’est excellent.
CHAOS VAULT Webzine
Całkiem niedawno recenzowałem split Death Invoker z naszym Throneum, a tu w
międzyczasie przyszła do mnie paczka od kolegów z Nocturnal Battle of
Charriots, gdzie do papieskich artefaktów dołożono promówki z Nihilistic
Holocaust Productions.
A pierwszą, którą odsłuchałem była właśnie taśma tych dzikich Peruwiańczyków.
„Necromancy, Damnation, Revenge” to trzy kawałki plus intro. Kilkanaście minut
jebanego metalu. Ta EPka nie jest już tak wyraźnie death metalowa jak
recenzowany przeze mnie split. Na tym materiale mamy tygiel wpływów – death
metalu, black metalu, thrash metalu – oczywiście okraszony brzmieniem
piwnicznym, surowym. Równocześnie jest to chyba jeden z najgwałtowniejszych
materiałów Death Invoker jakie słyszałem, toporność została zastąpiona
szybkością – „Divination Through Death Spirits” tak do połowy ma mocną speed
metalową podbudowę i dopiero od połowy numeru dostajemy piekielne zwolnienie.
Jak dotąd to chyba najlepszy materiał tego horda, przynajmniej w mojej opinii –
metalowy do cna, bezkompromisowy i totalnie podziemny.
Nie ma co się więcej rozwlekać nad tą muzyką – wiadomo, że nie kupią jej fani
Decapitated, ale ci których bicie serca wydobywa się z głębi piwnicy raczej na
pewno. Ocena: 8/10
BRUTALISM Webzine
Death Invoker has put forth a cassette release of their previous EP “Necromancy,
Damnation, Revenge”. On the French label Nihilistic Holocaust. It features some
pretty sick artwork that you would probably find tattooed on a deranged killer
in a South American prison. Hailing from Lima, these Peruvian blackened metal
thrashers have been spreading Satan’s seed since 2005.
The intro, ‘Magnificent Invocation’, is a little over two minutes. I would have
liked to seen some more pertinent material from the band on a cassette with
such a short track list. But an atmosphere is achieved. The second track,
‘Divination Through Death Spirits’, was excluded from the previous EP cut for
time. This track fuckin bangs! My personal favorite of “Necromancy, Damnation,
Revenge”. The fat fucking bridge of this song coupled with catchy chorus of the
title and the classic echoing vocals, make me want to walk the left hand path.
‘Destroy The Cross’ is the last track and it is right up there with ‘Divination
Through Death Spirits’. Again a fairly beefy tempo change on the bridge and
some picking riffs and a dissonant solo. Strong track. The other song, Withes
Hammer, failed to grow on me.
This “Necromancy, Damnation, Revenge” cassette was my introduction to Death
Invoker. Definitely happy to have listened and makes me want to check out
earlier stuff to see if and how they have progressed. “Necromancy, Damnation,
Revenge” combines thrash blackened old school with a pinch of satanic pustules
that I enjoyed.
3.5 / 5 STARS
VM UNDERGROUND Webzine
Ah, some South American Extreme Metal with the attitude and spirit when you
take pictures on a cemetery while your drummer has a Mohawk and when brothers
in a certain Brazilian band were called “Max Possessed” and “Igor
Skullcrusher”.
Death Invoker from Peru, containing the perverted combo Morbid Devastator,
Unholy Perversor and Bestial Lust know how to combine the old unholy trinity of
Death, Thrash and Black Metal of the early and mid-80s. Although the sound
isn’t quite like those days, less hazy and rehearsal room like, it does has the
right DIY-vibe going. At first released by Picture from Hell and Sociedade dos
Mortos on 7” vinyl in 2018, Nihilistic Holocaust released it on the good old K7
with an additional track, “Divination through Death Spirits”, that wasn’t
included on the vinyl version.
Tape enthusiasts with fondness for old Sarcofago, Sodom, Necrodeath and
Sepultura will enjoy this for sure! (Ricardo)
LA HORDE NOIRE Webzine
On peut toujours faire confiance à Nihilistic Holocaust pour gratter la terre
du black thrash le plus cradingue et y déterrer ces hosties crouteuses qui ne
peuvent de toute façon proliférer que dans la bauge de l'underground le plus
evil. Sa nouvelle production est le "Necromancy, Damnation, Revenge"
de Death Invoker, bête péruvienne dont le sobriquet des (alors) trois membres -
Morbid Devastaror, Bestial Lust et Unholy Perversor - en résume à lui seul la
teneur. Car, à l'instar de la plupart des hordes barbares venues d'Amérique du
Sud, le trio ne déroge pas à la règle d'un black sale comme le sang menstruel
et copulant avec ses grands frères, thrash et death metal.
Ce petit quart d'heure de bestialité latine n'est toutefois pas nouvelle
puisque déjà vomie en 2018 sous la forme d'un 7'' par l'entremise du brésilien
Pictures From Hell. Pour l'occasion, le titre 'Divination Through Death
Spirit', initialement gravé pour ce EP mais retiré de l'édition d'origine,
complète le menu dans une version sensiblement différente de celle du split
"Impure Spirits Of Destruction" au sein duquel ce morceau a échoué.
Vous êtes perdus ? C'est normal mais c'est aussi ce qui fait le charme morbide
de ces groupuscules aux discographies aussi bordéliques que leur musique.
La bonne vieille tape des familles une fois lancée, les remugles occultes de
l'intro 'Magnificient Evocation' répandent le suaire sinistre d'une cérémonie
nichée dans les replis caverneux d'une intimité obscure. Une fois la porte du
caveau béante, la mort peut ensuite s'échapper, épousant la forme miasmatique
de ce 'Divination Through Death Spirits', à l'entame biberonnée au pur heavy
metal avant de galoper dans un charnier aux multiples cassures. A son écoute,
on se demande bien pourquoi le 45 tours originel a été énucléé de cette
excellente saillie. 'Witches Hammer' puis 'destroy The Cross' sont taillés dans
le même bois, celui qui fait cramer les églises avec un son primaire et cette
manière de capter les ténèbres dans ce qu'elles on de plus malsain et cruel,
qui n'appartient définitivement qu'aux vilains d'Amérique du Sud, avec en sus,
dans le cas de Death Invoker, une propension à écarter les lèvres des abysses
pour y plonger un manche pesant et macabre.
Alternant éruption de pus et coups de boutoir méphitiques, "Necromancy,
Damnation, Revenge" rumine ce black thrash dont le caractère primitif ne
le vide pas d'ambiances sinistres à souhait, comme seules les caves abritant
des cérémonies incantatoires peuvent en régurgiter.
CRYPT OF DR GORE Zine
Il est devenu rare pour moi de chroniquer des tapes mais on peut dire que
celle-ci a eu son petit effet et m'a fait partir en nostalgie. Death Invoker
vient du Peru et est actif depuis 2005. En 15 ans ils ont sorti 2 démos, 5
split et 1 EP. Ils n'ont pas chômé mais ils n'ont pas d'album pour le moment.
On va parler de cet EP qui est à l'origine sorti en 7'' en 2018 et réédité en
tape chez NIHILISTIC HOLOCAUST Webzine/ Distroen 2020 avec un morceau additionnel.
C' est parti pour 2 minutes d'intro nous plongeant dans une ambiance sombre et
déprimante, puis lorsque sonnent les premières notes de 'Divination through
death spirits'... Putain que c'est bandant ! On se prend une bonne dose de
Thrash, Death, Black au chant raisonnant, une batterie percutante et des riffs
acérés, musicalement je pourrais les comparer à Blasphemy. 'Destroy the cross'
est sans doute le morceau le plus thrash et le plus rapide. Je ne me lasse pas
de repasser en boucle les 3 titres de cet EP version cassette. C'est
malheureusement beaucoup trop court, car pour une découverte j'en redemande !
Le son n'est pas trop propre, ni trop sale d'ailleurs, de quoi apprécier le
côté vieille école. Ça donne envie dd creuser un peu plus sur ce groupe. Je recommande.
CONTAMINATED TONES Webzine The necessity of tapes exemplified! Death Invoker, a Peruvian horde,
have gone through some lineup changes, but the intent remains the same -
relentless extreme metal in the style of the classics. "I met Unholy
Perversor in 2003 in a Metal store. Then we got contact and spoke from time to
time to play raw, bestial and classical extreme Metal. Everything finally
started once we met Beast of Holocaust on 2005." In 2019, Unholy Perversor
self-exiled. "Just he decided to go off from Death Invoker (and even his
other band), because of personal decisions. So, I took guitar too, in addition
of bass/vocals. Now Death Invoker continues as a duo. We have already recorded
for 4 productions with this duo line up." That duo is rounded out by
drummer Bestial Lust, since 2007. "The only fact is that we summon elder
spirits of extreme Metal and unleash our necromantic noise, trying to put our
own characteristics. Once we were called "Morbid and Unholy Peruvian Metal
Bestiality", “Necromantical Metal of Death, “Necromantic Deathrash”,
etc." Necromancy, Damnation, Revenge was originally released on 7",
however Death Invoker were forced to omit the opening track, "Damnation
Through Death Spirits". I received some explanation on this from main man
Morbid Devastator. "We recorded "Divination…" originally for the
7EP, but it was excluded because of factory issues. At first, the EP would be
released in Europe and the label asked for twenty minutes. But there were
troubles. Finally, the EP was released in South America and the label and
factory asked for fifteen minutes. So, we decided to take out “Divination…”
which in fact was the newest, longest and the last (song) we had recorded at
that time." Thankfully, Nihilistic Holocaust has solved this problem by
releasing this excellent material in totality.
I hear the influence of mainly early Slayer, Sepultura, and Sodom but stripped
of all semblance of complicating technicality. The production is ancient, and
underground sounding, at times even emitting a Celtic Frost value. The major
difference comes in the throat of bassist and vocalist Morbid Devastator who
prefers a gruff lower growl than the wailing high pitches of Araya or mid-range
rasps of Angelripper. This deeper vocal performance combined with lots of echo
and reverb should be reminiscent of Blasphemy, or Mystifier. Maybe some of the
Greek scene pokes through as well. I ear-checked my impressions. "In
general, ancient and raw Metal as: Sarcófago, Sepultura, Vulcano, Sextrash,
Kreator, Sodom, Destruction, Venom, Possessed, Death, Slayer; just to mention
the classics, in addition of other raw noises from the entire ancestral Metal
legions."
There is a subtle occult atmosphere to the tape, set in motion by the longish
two-minute intro. The intro, which Death Invoker deemed important enough to
remain in full on the 7" - important enough that it would have been worth
omitting a full track for - sets an appropriate tone, with wailing distant
moans and synths rumbling on in the foreboding melody of D#, F, A at first and
then C and F. Maybe slightly longer than needed, but a solid introduction to
the previously omitted track, "Damnation Through Death Spirits." In
truth, though, it is "Witches Hammer" that stands out to me as the
most classically influenced track present and reminds me of Slayer more than
the other two non-intro offerings.
The layout does not provide any hints as to the lyrical content, so I asked
Morbid Devastator about this facet of the band. Regarding my favorite on the
album, he alluded to the historical treatment towards those deemed witches.
"'Witches Hammer' is related to the so called blasphemous acts of the so
called witches, and punishment they suffered, although this, an eternal curse
was unleashed." Elaborating further, "Death Invoker takes obscure
events of history to be used as a manifestation of dark stuff along human life.
In addition to death mysteries, ancient rituals, abominable mythology, obscure
damnations, Metal apologies and morbid hallucinations."
FOBIA Webzine
Francouzský label Nihilistic Holocaust loví v nejhlubších patrech undergroundu,
odkud často vytáhne nějakou prastarou nahrávku (která vyšla v omezeném
nákladu), a své úlovky pak vydává primárně na kazetách. Peruánská
kapela DEATH INVOKER a její kolekce „Necromancy, Damnation, Revenge“ budiž
typickým případem. Skladby byly nahrány v roce 2014, smíchány o rok později a v
režii brazilského labelu Pictures from Hell vyšly v roce 2018 na sedmipalcovém
vinylu. Na ten se ale nevešly všechny čtyři nahrané položky, tak se jedna
objevila na následujícím splitu s polskými EMPHERIS a nyní i na kazetě, která přináší
kompletní materiál jednoho studiového session.
Materiál pravda nepříliš dlouhý, lehce přes čtvrthodinu, přes kterou se
nahrávka dostala díky intru, které je ponuré a evokuje spíše doom metal než to,
co se následně odehraje. A tím je směs death, black a thrash metalu bez jasných
kontur, což je dáno tím, že Peruánci mastí pravěký špinavý metal, který čerpá
ze všech uvedených subžánrů. A mastí to hlava nehlava, typicky jihoamericky,
kytara chrastí, bicí se sypou do sklepa jako brambory, zpěvák řve zastřeným
hlasem… a zvuk je taky pěkná špína.
První zpívaná skladba „Divination Through Death Spirits“ na původním vydání
chyběla, ale nikoliv, že by se povedla méně než dvě zbývající. Začíná pozvolna,
ale po krátkém úvodu nabírá kurz thrash/black metal à la 80. léta. Nechybí
skoro speedové momenty ani ponurá pasáž s recitací, celé to v podstatě budí úsměv,
ale nikoliv škodolibý, spíše chápající, muzikanti se prostě zhlédli v old
school muzice. „Witches Hammer“ a „Destroy the Cross“ jsou o poznání zběsilejší,
hlavně prvně jmenovaná je převážně hodně rychlá, mísí se v ní thrashová
agresivita a blackový feeling, kytary kvílejí jak na raných deskách SLAYER a
nostalgie vládne. Podobně se odvíjí i poslední věc, která kromě démonického
metalu (ten vokál!) obsahuje i umírněnější minimalistiskou pasáž.
Z uvedeného je jasné, že tahle kapela i nahrávka by mohla potěšit fanoušky
obskurností z Jižní Ameriky nebo uctívače demosnímků průkopníků extrémního
metalu. Pro ostatní to bude bordeliózní retro. Já nepatřím ani mezi uctívače,
ani mezi odpírače; nadšením neskáču, ale hůl nad kluky z hlavního města Limy
(ve kterém žije zhruba tolik lidí jako v celém Česku) rozhodně nelámu, žádná
tragédie to určitě není a místy mě jejich produkce docela baví. Ve srovnání s
jinými podobně laděnými kapelami, třeba VULCANEM, nebo, abych nechodil daleko,
nedávno recenzovanými DOMINION OF SUFFERING je to o něco slabší, ale slyšel
jsem řadu mnohem horších pokusů o pravěký metal. Z DEATH INVOKER sálá nadšení
pro věc a autenticita.
Obal kazety je stylový, pěkná kresba na titulce, uvnitř jsou fotky kapely a
informace k nahrávce, chybí texty, což je škoda.
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