OSSUAIRE - "Mortes fables" Tape. Out now! (Death m |
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gabalgabow
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Posted: 20 Mar 2021 at 2:29am |
OSSUAIRE "Mortes fables" Tape. Out now! This is the last recording of the french band OSSUAIRE, now rematerialized on tape! Expect darkened death metal with old school roots. Compared to the previous recording "Le troubadour nécrophageophile", this one is more based on atmospheres, it was composed in a little more elaborated approach, and perhaps has a more doomy edge. The old spirit of medieval tortures and perversions is still present, in the lyrics, vocals, and quite ambient interludes. Listen: https://youtu.be/qn9SWwdkW48 This is a black tape with sticker and pro cover. Available from NIHILISTIC HOLOCAUST: https://nihilistic-webzine-distro.fr/Webshop/fr/81-nihil Or from Bandcamp: https://nihilisticholocaustrecs.bandcamp.com ---------------- Support French Death metal ---------------- |
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gabalgabow
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Embrace
medieval tortures !
Edited by gabalgabow - 21 Mar 2021 at 4:38am |
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gabalgabow
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gabalgabow
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Here's what some underground zines or blogs had to say about "Mortes fables":
TRASHERCORPSE Webzine: La première démo d'Ossuaire date de 2005, et le groupe semblait avoir disparu de la circulation malgrès quelques petits concerts, avec une période où le groupe tournait à 3 pour les lives, après le départ du premier chanteur. Du line-up de l'epoque, il y a surtout Kyste et Groms qui sont le ciment du groupe. Fred est un guitariste de 22 ans qui officie aussi dans Dominant Obscurity . Pour cette nouvelle démo, on retrouve un aussi bassiste, Vince, lui aussi dans le meme groupe que Fred. Voilà pour les changements. Pour les nouveautés, nous avons droit à une cover en couleur, ce n'est plus une pochette cartonnée mais un digipack, bref un travail bien plus soigné de ce côté là. En fait voilà, ca fait très vieux livre de nécromancie tout moisi cette illustration. Le groupe nous conte donc ici 6 nouvelles mortes fables, moyennageuses et macabres, peuplées de fées et de démons comme à son habitude. On retrouve bien entendu tout ce qui fait le charme de la campagne, les bruits nocturnes d'un village paumé où hurle des truies à la lune. Avec rodant dans la fôret, comme toujours un sinistre présage, annonciateur des pires calamités et malheurs. Ca reste du bon gros death qui tâche, comme sur "Le Troubadour Necrophageophile" mais cette fois-ci on table plus sur les ambiances pesantes, un death plus gluant, moins rentre-dedans et moins rapide en terme de rythme. Ceci est compensé par des riffs batterie toujours aussi old-school, avec une double qui fonce mais qui reste discrete. Autre nouveauté, au niveau du chant, sur "Le Siège" par exemple, avec du chant clair, où pointe un brin de folie. Le fait que ce soit moins rapide qu'avant ne veut pas dire que ce soit moins éfficace, les guitaristes pouvant ainsi placer quelques petits solis éfficaces. C'est une approche un peu différente du premier, qui me plaît un peu moins, mais ça c'est une autre histoire. Le groupe a toutefois sû conserver une certaine signature, un type de son qui lui est propre, une ambiance à part. Et techniquement ainsi qu'en terme de composition, le groupe a bien évolué, il faut le reconnaître. Comme quoi, le groupe n'a pas chomé du tout et, enfoui dans son antre, a sû extirper quelques histoires biens morbides. NAWAKULTURE Webzine: Que n'ont-ils pas compris dans la phrase ceux qui essaient sans parvenir ? DEATH metal, un metal qui évoque la mort, les tourments et l'enfer, un courant qui s'appuie également sur les périodes sombres de l'histoire comme OSSUAIRE avec le Moyen-Âge, des morceaux à l'imagerie, le groupe dédie son art à une époque troublée par le mysticisme, la brutalité et d'incessantes guerres. La musique va de pair avec le sujet, les cordes croisent le fer avec les fûts, mènent les compositions au galop sans oublier quelques passages lents et lourds, calmes avant la tempête. Cette deuxième démo (CD pro digipack) est une réussite, les connaisseurs ne s'y tromperont pas. KOBZR Webzine (Ger) Die Melodienbögen zeigen, daß OSSUAIRE ihr Sache verstehen und das Intro gehört zu den genialsten dieser Art. Keiner der fünf, ohne Intro "Marche Noire" gerechnet, befindlichen Songs klingt wie der andere; jeder hat seine eigene Atmosphäre, Ausstrahlung, Melodie und kann mich auf Anhieb überzeugen, unabhängig davon, ob es sich um schnelle Titel oder eher welche, die im Midtempo-Bereich angesiedelt sind, handelt. Schnelle Drums, rasende Riffs, machen "Le Siege" zum ersten Highlight dieser CD. Das Album zeichnet sich durch eine ausgeprägte Direktheit aus. Atmosphärischen Breaks, die sich durch "Liber Mortis" und "Feeria In Anus Deflore" ziehen, machen "Mortes Fables" sehr straight und zielstrebig. Die peitschenden, nach vorne gehenden Riffs setzen die Energie um, die die Songs brauchen, um der ganzen Sache noch die nötige Portion Härte zu geben. "In Scatorks Excrementis", zeigt erst so richtig die Qualität "Mortes Fables". Die Vocals bleiben stets variabel und die Produktion ist ein Hammer schlechthin und so donnern auch die Doublebass aus den Boxen, daß es ein wahre Freude ist. Gerade "R.S.P.E." überrascht nicht nur durch seine sehr ausgeprägte Geradlinigkeit, sondern auch durch seine Doom-Schlagseite, das die Schlichtheit des Songs unterstützt. Aber das eher rohe Feeling scheint der Band zu gefallen, und so paßt der Sound dann doch wieder. Insgesamt kann man also der Scheibe das Brandmal “gut und interessant” aufdrücken, was in den heutigen Tagen des gegenseitigen Kopierens viel bedeutet. ALAKIHEL Blog: Il aura fallu 5 ans à Ossuaire pour remettre le couvert et nous présenter un line-up visiblement tout neuf. Dès le moment ou on écoute ce second opus, il y a une nette différence de packaging, ce qui était pour « Le Troubadour Necropheagophile » un boitier crystal « self-made » deviens un boitier carton pourvu d’une très jolie jacket et de quelques images illustrant certains passages des chansons. Dès l’intro, on retrouve l’ambiance propre à Ossuaire, cependant elle n’a rien à voir avec la précédente démo. En effet à défaut d’une cloche ce sont des petits grognements qui ne sont pas sans rappeler de la nourriture porcine encore à l’état d’être vivant… Ou plutôt des Gobelins, interrompus quelques secondes après par une voix lourde beuglant un « Silence ! » imposant le respect. S’en suit l’arrivée des guitares pour continuer cette intro d’une manière plus metal, alors le son des catapultes résonnent dans nos oreilles avant d’entammer le premier titre. « Le Siège », à la première écoute, quelque chose choque, en effet le son semble, très « crunch »… Trop crunch, et c’est bien dommage, car d’une manière objective, cet opus est beaucoup plus mature que son prédécesseur. Les compositions prennent un tournant relativement plus prenant, et plus intense, les riffs se font mieux trouvés et le groupe effectue une mise en scène (auditive) parfaitement maitrisée : ajouts de sampler, cris placés aux bons moments (pas hurler dans le micro des cris de femme, ou plutôt de fillettes…). Malgré ce son trop crunch pour moi, qui manque clairement de puissance, on finit par apprécier le titre à sa pleine mesure (mention spéciale pour le passage en chant clair, je ne vous ferai pas part des paroles que j’ai put avoir, le but du jeu étant de comprendre ce que dis le personnage). Le morceau nous gratifie également de solos d’une saveur exquise et exécutés d’une manière absolument jouissive. Une autre différence très nette avec « Le Troubadour Necrophageophile » est l’écriture des paroles. Beaucoup plus proches du « Fléau » à mon avis, certes les thèmes abordés sont toujours crasseux, sales, mais beaucoup moins crus, le parolier du groupe fait preuve ici d’une excellence littéraire quant à l’utilisation des mots, toujours parfaitement choisi en plus d’un vocabulaire « médiéval » ajusté à la perfection. Si j’ai quelques lignes plus haut évoqué une autre manière d’écrire les titres, je dois par contre reconnaitre que le morceau « Feeriae In Anus Deflore » se rapproche énormément de la première galette, d’une nature beaucoup plus crue mais disposant toujours de cette maturité omniprésente sur « Mortes Fables ». Il en est de même pour le dernier titre « In Scatorks Excrementis », je ne sais pas si c’est du latin, quoi qu’il en soit je ne le parle ni ne le comprend, en revanche je pense comprendre la subtilité qui se cache derrière le titre de ce morceau. Cette démo est brutale, violente, beaucoup plus mature et à mon goût beaucoup mieux composée que la précédente offrande. Cela ne change en rien la puissance du vieux Troubadour, mais cette démo place la barre très haute, le seul défaut étant… Le son. Je n’en dirai pas plus car tout à déjà été dit au début de la chronique, c’est juste dommage, si le son avait été d’une qualité supérieure il est clair que ma note aurai clairement été supérieure, même supérieure à celle de la précédente démo. J’attend l’album avec une impatience non dissimulée tellement la musique est bonne. TROCHE KULTURALNIE Blog (Pol): Zdaje się, że Francuzi z OSSUAIRE mają jakieś perwersyjne ciągoty, co dla niektórych będzie teraz dodatkową zachętą, żeby sięgnąć po „Mortes Fables”. Muzycznie jednak zespół stroni raczej od klimatów porno/gore/grind, gdzie tematyka wszelkich zboczeństw pojawia się najczęściej. Nie słychać też na „Mortes Fables” fascynacji innych francuskich Mistrzów Perwersji czyli MISANTHROPE. Co więc gra OSSUAIRE? Odpowiedź jest prosta: death metal, ale generalnie jest to raczej muza zakorzeniona w tym gatunku bez konkretnych walorów typu blasty, mega brutalność czy ultra prędkość. Za to OSSUAIRE potrafi zbudować nieprzeciętny klimat, który czasem nawet bardziej kieruje ich w stronę black metalu, ale chodzi tu wyłącznie o atmosferę, a nie o jakieś zaszufladkowanie. Tempa utworów OSSUAIRE są umiarkowane, z przewagą raczej wolniejszych i średnich. Nikomu się więc nie spieszy, a że „Mortes Fables” trwa niespełna pół godziny warto zapodać ją sobie jeszcze raz, ponieważ tylko wtedy odkryjemy ukryte smaczki, pojękiwania. I to, że Francuzi grają całkiem fajną muzę, która nikogo nie powinna zanudzić. A takie utwory jak „Feeria In Anus Deflore” z pewnością pobudzą wyobraźnię niejednego albo niejednej z Was... Na tle reszty najbrutalniej brzmi „In Scatorks Excrementis”, choć i on nie reprezentuje sobą nic cięższego ponad te pozostałe pięć utworów. Na pewno jednak może słuchacza rozbujać, tyle, że zamykający płytę „R.S.P.E.” kompletnie Was rozłoży i rozgniecie walcowatą strukturą! Kto woli szybsze klimaty szybko zmienia płytę... |
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